Antoine Le Grix, étudiant de 22 ans s’est lancé un défi, from marathon to Iron Man en passant par le Triathlon de Deauville.
C’est avant de s’élancer sur le marathon de Paris le 8 avril qu’Antoine nous a raconté le début de son histoire. Son idée : faire « un tremplin sur plusieurs triathlons jusqu’à l’Iron Man de juin 2019 ».
Antoine, nageur-coureur de base avec 4-5 compétitions à son actif s’est mis au vélo pour faire du triathlon.
Première fois pour lui qu’il va s’essayer à un triathlon et c’est au triathlon International de Deauville qu’il s’est inscrit.
C’est donc le dimanche 24 juin qu’il s’est lancé sur l’épreuve du distance Olympique – Loubsol.
Voici son retour après son épreuve:
« C’était… Juste incroyable !! J’avais déjà fait plusieurs semis, un marathon, des courses en athlétisme par-ci par-là, mais l’ambiance en triathlon… Rien à voir ! C’est juste dingue, bien au-delà même du marathon de Paris qui met pourtant la barre haute.
C’était la révélation pour moi, premier tri et hâte d’en refaire, je viens de découvrir un monde épique.»
Il nous fait aussi l’honneur de nous raconter ses impressions pendant la course :
« L’ambiance, et surtout, les transitions, c’est quelque chose d’assez génial. Le côté optimisation du temps/efficacité, c’est un challenge certes, mais sans stress, c’est vraiment un défi que je trouve très amusant à faire, c’est du « bon stress ». »
Le parcours vélo, « parcours tout en relance » porte bien son nom d’après Antoine, qui a pu l’effectuer majoritairement en danseuse sauf la fameuse Côte Saintt-Laurent mais il n’était pas d’après ses termes « au fond du trou ».
Cette partie vélo était pour lui la plus stressante :
« Tout repose sur une partie de chance, niveau crevaison/pépin mécanique… C’est le seul bémol du triathlon. Je suis habitué en course à pied ou en natation de ne pas avoir ce genre de réflexions à avoir. Se dire qu’il faut aussi avoir de la chance pour faire une perf’ ou finir une épreuve, c’est compliqué ! »
C’est en 2 heures 35 minutes et 54 secondes que Antoine termine cette épreuve dans une ambiance inattendue pour lui.
« Même si je n’ai pas préféré boire, j’ai beaucoup aimé le côté distribution de bières après l’effort ahaha, j’imagine qu’on ne voit ça que sur les triathlons, en course à pied, ça me reste inconnu. Ça témoigne de l’ambiance qui y règne… »
Après son triathlon, c’est déjà la soif de recommencer qui l’empare avec maintenant un objectif de performance. Après une analyse des résultats, entrer dans le top 50 lui semble faisable l’année prochaine. A suivre…
Un grand bravo à Antoine et à l’année prochaine
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